Les rêves changent mais l’envie de rêver demeure.
Malade, pauvre ou captif, chacun, suivant sa propre condition, s’invente un espoir de santé, de richesse ou de liberté.
Création 2003
Les rêves changent mais l’envie de rêver demeure.
Malade, pauvre ou captif, chacun, suivant sa propre condition, s’invente un espoir de santé, de richesse ou de liberté.
Dans sa dernière création, la Frangipane Théâtre vous propose de partager, l’espace d’une nuit, les rêves de trois compagnons
d’infortune que le hasard a réunis dans un univers clos, de les accompagner dans un voyage ludique, en quasi-apesanteur, d’emprunter avec eux les chemins de l’imaginaire.
Dans les rêves, tout est possible mais rien n’est durable et le retour à la réalité se fait souvent sans parachute et vous apprend la dure
loi de l’attraction terrestre. Attention à la chute !
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Le mot des metteurs en scènes
La première, la seconde, et la troisième ont eu lieu les 20, 21 et 22 mars 2003 au C.R.E.A. à Giou de Mamou .
Pendant 15 mois nous avons travaillé inlassablement avec René qui nous encourageait… Un jour, quand Kiki, finit par savoir ses textes, nous avons eu le plaisir de présenter le spectacle au monde entier !
Jean Paul et Gaetan ont eu du mérite de le supporter, après Kaïcho, Kiki a eu du mal à redevenir un acteur “normal”.
Un travail d’ horloger ciselé par René vous est proposé, soyez de ceux qui diront un jour : “Nous avons vu, Mi-fugue, Mi-raison ! ”
Des répétitions pour construire le spectacle nous en faisons régulièrement. Notre guide, notre maître nous emmène dans des chemins que jamais nous aurions osé explorer. Notre âme, notre coeur sont bouleversés par cette quête. Lorsque vous le rencontrerez, inclinez vous et sachez qu’il a su dompter l’indomptable : des hommes hors norme, des hommes qui avaient quitté la route. Maintenant voyez et régalez vous du spectacle. Pour vous, une exclusivité, les répettes de la Frangipane…en image
La nuit, dit-on, tous les chats sont gris ! La pénombre favorise l’éclosion des interdits, les roses fleurissent dans les caniveaux, les étoiles éclairent les taudis, les paillettes illuminent les haillons.
Dans les penderies bourrées de naphtaline, on cherche parfois l’habit qui fera le moine. Pourtant, c’est souvent un autre soi-même que l’on trouve, caché sous un chapeau ou dissimulé sous un imperméable. Alors la fugue tourne au vinaigre, l’échappée belle se résume à un saut de puce et l’on retourne à la « cage-départ », avec le sourire de ceux qui n’ont pas besoin de beaucoup de place dans leur tête pour loger les grands espaces !
Video de France 3